https://www.youtube.com/watch?v=uX5Ww3youaM
Je ne sais pas vous, mais moi j’aime bien être informé, ainsi lorsque par hasard je tombe sur la toile sur un communiqué du 19 aout dernier du Bureau National de Vigilance Contre l'Antisémitisme qui, je cite : «condamne avec force le racisme anti asiatique dont sont victimes les chinois résidents pacifiques de la Ville d'Aubervilliers (Seine Saint Denis)». Je m’interroge, qui sont donc ces odieux «racistes» ? Le BNVCA toujours aussi prudent ne nous le dit pas, il les nomme : «les agresseurs» ! Pour moi à qui on a fait la leçon depuis longtemps, des agresseurs racistes sont forcément d’odieux fachos blancs nostalgiques des années les plus sombres de notre histoire, les Vincent, François Paul et les autres, membres d’un parti nationaliste dont la seule évocation soulève le cœur d’un libertarien comme moi.
Je ne sais pas vous, mais moi j’aime bien être informé, ainsi lorsque par hasard je tombe sur la toile sur un communiqué du 19 aout dernier du Bureau National de Vigilance Contre l'Antisémitisme qui, je cite : «condamne avec force le racisme anti asiatique dont sont victimes les chinois résidents pacifiques de la Ville d'Aubervilliers (Seine Saint Denis)». Je m’interroge, qui sont donc ces odieux «racistes» ? Le BNVCA toujours aussi prudent ne nous le dit pas, il les nomme : «les agresseurs» ! Pour moi à qui on a fait la leçon depuis longtemps, des agresseurs racistes sont forcément d’odieux fachos blancs nostalgiques des années les plus sombres de notre histoire, les Vincent, François Paul et les autres, membres d’un parti nationaliste dont la seule évocation soulève le cœur d’un libertarien comme moi.
En cherchant bien, je tombe sur un article magnifique
et plus que politiquement correct, écrit par Floriane Louison, une merveilleuse
journaliste de très grand talent le 17 août 2016, dans le journal Parisien qui
a cessé d’être Libéré et d’information informative qui informe ces lecteurs
avec une impartialité digne du grand journal progressiste l’Humanité.
Article intitulé : Agression
d'Aubervilliers : les Chinois disent stop à la violence
J’ai eu beau chercher
là aussi qui pouvait être les immondes assassins racistes de Chaolin Zhang, un couturier chinois de 49 ans
travaillant en France («Travailleur» au
noir (sans rire), sans papiers ayant trouvé refuge dans une enclave marxiste
pro immigration), qui a succombé à ses blessures après une agression, cinq
jours plus tôt, à Aubervilliers dont madame l’excellent maire communiste tolérante
et marxiste culturelle multiculturaliste, Meriem Derkaoui, a dénoncé elle aussi
le «ciblage raciste» de l’agression.
Madame le maire semble très peu appréciée du BNVCA qui lui demande ainsi qu’a son à son Conseil
Municipal, de s'employer à faire protéger les ressortissants asiatiques et
juifs de leur commune, plutôt que de consacrer une grande partie de leur
énergie politique à tenter de célébrer et d'honorer le terroriste arabe Marwan
Barghouti au motif qu'il est palestinien, en osant même défier la justice de
notre pays. Madame Floriane nous dit que Rui
Wang, président de l’association des jeunes Chinois en France partage cette
analyse : «C’est un racisme latent qui se
transforme en racisme violent car ces attaques reposent sur des préjugés : un
Chinois est riche, faible et surtout silencieux». Ceci étant dit, on ne
sait toujours pas qui sont les fameux «racistes»
criminels, vraisemblablement ils ne sont pas de race jaune (si messieurs dame,
les races existent (Cliquez
ici)
Au printemps 2005, un
article publié dans le magnifique journal très marxiste culturel et politiquement
correct Le Monde à la suite des manifestations
contre le Contrat Première Embauche (CPE), fut emblématique de l’évolution
d’une partie significative de la gauche et de l’extrême gauche françaises
marxiste culturelle au niveau du «racisme».
Intitulé «Nouveau lumpenprolétariat et
jeune casseur», (Casseur: jeune homme particulièrement cultivé et
intelligent, de très bonne famille de la belle religion musulmane importée en occident dite de paix
et d’amour, issu de l’immigration maghrébine et subsaharienne) l’article des
journalistes d’information qui informent vraiment leurs lecteurs à l’inverse
des sales canards capitalistes véreux, Brigitte Larguèze, Frédéric Goldbronn et
José Reynes arrivent bien à dépeindre une partie de cette «jeunesse» des banlieues (appelée aussi racailles par les
sectateurs du grand capital cosmopolite) comme un nouveau «lumpenprolétariat,
cette «armée de réserve du capital» décrite par Marx, […] qui servait
d'auxiliaire de choc aux troupes d'Hitler et de Mussolini» (Pas d’amalgames
qu’ils disaient . La nouveauté
résidait dans le fait que ces «bandes
ethniques», c’est-à-dire des groupes informels composés de «jeunes», «traquaient surtout les «p’tits
Blancs». Bien évidemment, nos auteurs en bons «antiracistes» prenaient soin de ne pas «stigmatiser l'ensemble des jeunes issus de l'immigration» car «la bête immonde sommeille bien sûr toujours
en chacun de nous», mais l’attaque était bel et bien lancée (remarquons
tout de même que ces jeunes gens ne sont pour ces journalistes très
politiquement corrects nullement «racistes»
même lorsque ce sont des hommes de race noire qui s’attaquent à des «p’tits blancs» oh comme ils
disent !). La «bête immonde» ne
risquait plus alors uniquement de ressurgir des entrailles des «traditionnels» mouvements bien
évidemment des extrêmes-droites sociales nationalistes qui pullulent en France dans
nos vertes campagnes et nos banlieues tristes, nostalgiques des années trente,
mais également de certains postcolonisés
vivant dans les banlieues françaises (Putain comme c’est bien dit ; des «postcolonisés» pour des gamins noirs ou
arabes le plus souvent musulmans nés en France et devenus des citoyens Français.
Vous voyez le truc ? Le mec en correctionnelle : «Oui monsieur le juge j’avoue, c’est bien moi qui ai tué Tchang, mais j’avais
une excuse, la dit donc, je suis «postcolonisé» !).
Plus récemment, dans un article intitulé «L’inquiétante résurgence des théories de la race», Bernadette
Hétier et Pierre Mairat, les inénarrables coprésidents du Mrap le mouvement qui
distille de la haine des juifs, dénonçaient «la
gangrène de la racialisation du discours» qui «affecte […] certains secteurs communautaires», (ça aussi c’est
bien trouvé les secteurs «communautaires»)
c’est-à-dire sans langue de bois marxiste culturelle une partie des « postcolonisés»
noirs, arabes, souvent musulmans et des asiatiques pas forcément «postcolonisés» organisés vivant en
France. Selon eux, «les théories
d’exclusion et la sémantique identitaire raciale qu’elle développe
s’apparentent à celles de -devinez qui ?- de l’extrême droite - bien sûr, pour ces gens-là, des marxistes
nostalgiques de l’Holodomor au 9 millions de morts, des goulags Staliniens et des
grandes purges antisémites, un raciste ne saurait être qu’un individu «d’extrême droite» avec le crâne rasé qui boit de la bière avec le bras tendu», car
disaient-ils, nous retrouvons «dans leurs
discours, les concepts de race, de lutte des races, de frères de race etc. etc.»
(Ils ont oublié les : «Ta race de
Blanchette», le non moins fameux «race de fromage» (toujours Blanc le
fromage): «Nique ta race» sans oublier les magnifiques «incivilités» bien pardonnables à des «postcolonisés» qui ont tant soufferts
comme : «Sale Kouffar», «sale blanc»,
les français sont des sous races, «sale séfran», «dentifrice», boule de
sperme» «sale gwer», «babtou fragile», «sale porc», je passe bien sûr sur
les «pédés, enculé de ta race, ta mère ou ta soeur la pute» et autres
babioles communes à tous les racismes bien compris ou, à l’attention des
personnes de race noire exprimé par des bons musulmans le très péjoratif et
raciste «Karlouch» mot stigmatisant
désignant une personne de race noire originaire d'Afrique subsaharienne ou des
Antilles qui veut dire «Esclave», mot
qui peut aussi être synonyme
de «Rosslav», soit une personne qui
possède des similitudes avec un(e) manouche ou un(e) rom). De ce fait, selon nos auteurs «antiracistes»
autoproclamés du MRAP mouvement qui entre parenthèse distille
de la haine des juifs,
certaines thèses racistes seraient partagées
par l’extrême-droite et ses mouvances communautaristes (Communautarisme :
terme socio-politique politiquement correct ou marxiste culturel désignant les
attitudes ou les aspirations de minorités (culturelles, religieuses, ethniques,
politiques, mystiques, sportives, qui restent
indéterminées...) visant à se différencier volontairement, pour s'entraider,
voire pour se dissocier du reste de la société traditionnelle Européenne
Helléno-judéo-chrétienne. Le premier exemple de communautarisme exacerbé qui
vient à l’esprit est celui du repli identitaire d’une partie de plus en plus
grande et très agissante, des musulmans. Ce communautarisme, véritable frein à
l’intégration (dans la communauté internationale ou au sein du pays d’accueil
pour les émigrés) rejette l'influence occidentale (politique démocratique
laïque, culturelle et religieuse) et abouti souvent au racisme antisémite (Affaire
Youssouf Fofana/ Ilan Halimi sans oublier Mohamed Merah) si ce n’est le plus souvent
au racisme albophobe ou sinophobe).
Ces accusations de «fascisme» ou de complicité avec une extrême
droite fantasmée faites à des acteurs ou des mouvements politiques représentant
les soi-disant «postcolonisés» ne
viennent pas de nulle part. Elles trouvent leurs origines dans l’histoire des
rapports conflictuels que la gauche dite coloniale française a entretenus des
décennies durant avec les mouvements insurrectionnels des «peuples» dits colonisés qu’elle a elle-même aidé à mettre en place.
Plus particulièrement avec le Mouvement National Algérien.
Faisons donc pour en
savoir plus un petit retour en arrière,
le 31 août 2013, Ftouh Souhail sur Dreuz.info nous informait déjà sur les fameux «racistes» sans noms pour la presse
politiquement correcte ou marxiste culturelle en titrant : Aubervilliers : les Arabes
imposent leur loi et s’acharnent contre les Chinois ! (Tiens donc des arabes, Qui l’eut
cru ? Il faut dire que chez nos amis juifs, ils appellent un chat un chat
et ne tortille pas du cul comme un journaliste de l’AFP (Agence marxiste
culturelle politiquement correcte dite aussi Agence France Palestine)
Enfin un journaliste (© Souhail Ftouh pour www.Dreuz.info)
qui ne parle pas la langue de bois marxiste culturelle de notre presse «Allah botte» laissons-lui la
parole :
«Aubervilliers,
Seine-Saint-Denis, est un des territoires perdus de la République Française.
Les effectifs de CRS sont presque interdits de s’y aventurer. De nombreux
Français ont été contraints de fuir cette banlieue, soucieux d’éviter à leurs
enfants des situations dramatiques. Aubervilliers, qui est jumelé avec Beit
Jala (territoire occupé par les Arabes en Palestine), est devenu de plus en
plus une ville musulmane. Les 80 % de ses habitants sont d’origine étrangère,
et les trois quarts des jeunes de moins de 18 ans seraient étrangers ou
français d’origine étrangère, essentiellement du Maghreb et d’Afrique
sub-saharienne.
D’après
un article récent paru dans le numéro 852 du magazine Marianne, les populations issues du Maghreb
imposent leur loi à Aubervilliers, et les chinois sont les nouvelles victimes
de l’invasion musulmane. (Ils devraient pourtant se
méfier ; le plus grand cataclysme qu’ait connu l’islam, la prise de Bagdad
par Hülegü le troisième successeur de Gengis-khan le mongol chinois, en 1258,
suivie de la mise à mort du calife abbasside devrait leur faire comprendre ce
que sont vraiment les «noiches»). Comme le rappelle Marianne, cette ville est la plus grosse
plate-forme d’Europe pour l’accueil des produits chinois. Sauf que les
musulmans sont très humiliés du dynamisme économique des Chinois à leur porte
tandis qu’eux vivent des aides de l’Etat. (C’est-à-dire des
impôts des cons de Francaouis). Ils ont
donc commencé à harceler et à agresser les commerçants chinois, qui les
accusent de braquages ou de racketter leurs femmes.
La
mairie (des communistes à la langue de bois marxiste
culturelle) reconnaît qu’il est très
difficile de convaincre les chefs d’entreprises chinois d’embaucher des Noirs
ou des Arabes (comme si l’embauche des musulmans est une condition pour la
cessation des violences !) car ceux-ci
sont moins travailleurs que les chinois, ils sont plus exigeants, et ils se
plaignent beaucoup.
Les
Chinois, qui ont déploré ces comportements, ont créé un groupe de soutien pour
se plaindre de l’augmentation de la violence provoquée par les jeunes
musulmans, et parce que la mairie, qui encaisse de très juteux impôt locaux des
entreprises chinoises, ne fait rien. Lors d’une réunion, les chinois du
quartier ont même menacé de «faire appel à la mafia chinoise pour les protéger»
constate Marianne.
Par
ce racisme antichinois, les arabes veulent créer un ghetto musulman. Encore une
preuve que le multiculturalisme a échoué, que l’intégration a échoué, et que
les politiciens de gauche et les bienfaiteurs transforment progressivement les
banlieues en ghettos musulmans.
Cette
intensification de scènes de violences antichinoises, dans des zones de
non-droit islamisées de France, rappelle les troubles qui ont fait des dizaines
de blessés près d’Alger, en 2009, parmi les commerçants asiatiques. Ces
troubles ont tourné aux batailles de rues.
Les
Arabes avaient lancé une pétition pour demander que les Chinois s’en aillent. (1*) Car là-bas aussi, on a du mal à
accepter cette immigration dont le dynamisme économique suscite des jalousies
et fait honte aux arabes.
Des
dizaines de boutiques chinoises avaient été saccagées. Les affrontements
avaient largement été relayés par une partie de la presse arabophone, et
l’ambassadeur de Chine était venu sur place.
Depuis,
les Chinois d’Alger font profil bas, ils continuent à commercer et à
s’enrichir, et les Algériens, qui ont le sentiment d’avoir gagné la partie,
continuent à vivre dans la misère.
(1*) A
l’époque la presse algérienne avait rapporté que les chinois qui ne respectent
pas la religion musulmane, jouent aux cartes dehors jusqu’à tard dans la soirée
en buvant de l’alcool, et que leurs femmes portent des tenues «dénudées» au
point que les «pratiquants» (les faux culs qui vont sur Internet
voir les gays, ou
les
beurettes) qui habitaient
en face ne pouvaient plus ouvrir leurs fenêtres».
Voilà voilà, ite missa est et sans commentaires. Aujourd’hui
de très nombreuses personnes me posent souvent la question par courriel: « Mais
qu’est-ce donc que ce marxisme culturel dont vous nous rebattez les oreilles ?
» (J’avais déjà répondu Ici mais c’était assez court), Une définition succincte
est donnée par Wikipédia: «Le marxisme
culturel est une forme de marxisme qui analyse le rôle des médias, l'art, le
théâtre, le cinéma et les institutions culturelles de la société en mettant de
l'emphase sur les luttes de genres, de classes et d'ethnies. Formulé par
l'école de Francfort et Herbert Marcuse, il aurait contribué à la montée de la
rectitude politique en Occident. Il s'agit d'un moyen culturel et non
révolutionnaire pour revendiquer l'abolition des classes et l'égalitarisme
absolu».
Aujourd’hui j’ai l’honneur et l’avantage de vous
informer que mon livre intitulé Note 9 et qui explique bien en quelques pages
ce que le marxisme culturel existe bel et bien et domine votre vie de tous les
jours Cliquez
ici pour voir le Livre Note 9
En 2010, il y a plus de 6 ans, je commençais un essai
d’ethnologie politique intitulé : Le
Grain de sable et écrivais en avant-propos : Au XXème siècle c’est ouvert
l’ère du politiquement correct ou marxisme culturel. Je me propose d’en faire
l’historique. L’histoire est une science humaine qui formule des problèmes et
propose des explications, ce que je vais faire, je ne propose pas de «solutions», il n’y en a pas, c’est trop
tard. La date de prise de décisions éclairées est dépassée. Pour mieux
comprendre le présent je vous propose de mieux comprendre le passé. Pour cela
je me suis servi de l’histoire de personnes réelles depuis le début du 19ème
siècle à nos jours notamment celle du créateur du Marxisme Culturel Wilhelm
Münzenberg avec Lénine dés 1915. La note 8 de l’essai se terminait à la page
1249 et outre la note 9, il restait une grosse trentaine de notes à insérer à
la fin de l’ouvrage, soit environ plus
de 1000 pages ce qui explique bien le terme de «volume» annoncé en avant-propos. Nous sommes en fin janvier 2017
et j’ai pris conscience que je ne pourrais jamais faire publier le livre avant
le premier tour des élections présidentielles du dimanche 23 avril 2017. J’ai
donc pris la décision de faire publier en avant-première la note 9 de l’ouvrage
qui est entre autre chose une biographie de Wilhelm dit Willi Münzenberg
personnage clé de l’histoire de l’édification du marxisme culturel qui a
pleinement réussi dans nos sociétés occidentales et qu’ayant compris le
phénomène, vous puissiez voter en conscience et ne fassiez plus la confusion
entre le «politiquement correct», le «système» la «caste» et le marxisme culturel.